C’est ainsi qu’Oscar Wilde, dans le Portrait de Dorian Gray, renvoie chacun à l’incommunicabilité de ses malheurs. Chez Wilde, comme chez Proust, l’homme est un être isolé, dont la conscience est emmuré dans son flux. Autrui est condamné à rester un étranger. Wilde présente ainsi une philosophie solipsiste.
Les tragédies des autres sont toujours d’une banalité désespérante
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